À l’aide d’un télescope dernier-cri, une équipe internationale d’astronomes a détecté des traces d’oxygène à 13,3 milliards d’années-lumière de la Terre.
De nouvelles observations à l’aide du télescope de pointe ALMA (l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array) ont permis de révéler des traces d’oxygène provenant d’une galaxie située à la distance record de 13,28 milliards d’années-lumière de la Terre, relate Science Daily. Cette galaxie a reçu le code MACS1149-JD1.
La découverte a été faite par une équipe internationale d’astronomes sous la direction du japonais Takuya Hashimoto, chercheur à l’Université Osaka Sangyo et à l’Observatoire astronomique national du Japon. Selon l’étude, les étoiles dans cette galaxie se sont formées 250 millions d’années après le big-bang. Avant cette découverte, la science ne connaissait que des astres apparus plus tard.
«J’ai été très heureux de voir les traces d’oxygènes les plus éloignées», explique M. Hashimoto.
«Nous sommes impatients de trouver de l’oxygène dans des parties encore plus éloignées de l’univers et d’élargir les horizons de la connaissance humaine», poursuit-il.
ALMA a par le passé aidé à détecter de l’oxygène à des distances record de la Terre. Ainsi, en 2016, Akio Inoue, de l’Université d’Osaka, en a découvert des traces à 13,1 années-lumière de la Terre.
Sources: Wikistrike, SputnikNews, 17 mai 2018.
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